Les médecins et les patientes témoignent

Après 3 années de PMA sans avoir jamais obtenu aucun début de grossesse, j’ai heureusement pu bénéficier d’un bilan MatriceLab prescrit par mon centre de PMA. Aussitôt le protocole MatriceLab suivi : je suis enceinte !

2 ans plus tard, je retourne en PMA en espérant avoir un deuxième enfant. Retour des échecs d’implantation. Nouveau bilan MatriceLab et nouveau protocole car les résultats n’étaient plus les mêmes que 3 ans plus tôt. Et aussitôt : nouvelle grossesse. Pour moi il n’y a aucun doute : sans ces 2 bilans je serais encore en parcours PMA des années après, ou bien j’aurais abandonné l’idée de porter un enfant.

Céline

Après plusieurs échecs de transferts embryonnaires, l’équipe de PMA qui nous suivait nous a proposé le test MatriceLab. Suite à leurs recommandations, le transfert suivant a réussi et notre garçon est né quelques mois après !

Il est parfois difficile d’accepter le délai que le test implique avant un prochain transfert, mais il est appréciable d’avoir un protocole adapté à notre profil pour cette étape sensible et cette lueur d’espoir en vaut la peine ! J’ai déjà conseillé à plusieurs amies d’en parler à leur gynéco.

Elise

Après 3 fausses couches, 2 curetages, une opération des trompes et de l’utérus, un échec de FIV, des dizaines de bilans, de tests, d’examens, des années d’attente, d’espoir et de déception, le bilan MatriceLab a été pour moi le tournant dans ma prise en charge en PMA. 

Mettant en évidence une suractivation immunitaire locale lors des phases d’implantation, un traitement m’a été conseillé. La grossesse suivante, en prenant le traitement, est allée jusqu’à son terme et nous avons enfin, après 5 années de galère, eu l’immense joie d’être parents. Nous avons eu un deuxième enfant sans soucis en suivant le même traitement. Ce bilan a donc sûrement et simplement changé notre vie.

Emilie

Après 4 FIV, de nombreux transferts d’embryons infructueux et devant l’absence de raisons évidentes pour expliquer les échecs d’implantation, le gynécologue qui me suivait m’a proposé de faire ce test, le MatriceLab, afin d’investiguer plus en profondeur car il butait complètement sur les solutions à apporter. En effet il m’a expliqué qu’à aujourd’hui les échecs d’implantations et les causes étaient encore des sujets peu explorés et mal maîtrisés.

Il m’a parlé des travaux du Docteur Lédée en m’indiquant que c’était en phase de test mais que cela avait donné de bons résultats sur des patientes qu’il connaissait et qu’en désespoir de cause il serait intéressant de le faire car nous n’avions plus d’options.

J’ai très bien été prise en charge par l’équipe du MatriceLab qui m’a bien expliqué le protocole d’analyse et adressé à un référent dans ma région pour faire le prélèvement. Au début je pensais qu’il s’agissait d’un seul test et que nous aurions un diagnostic et une solution tout de suite mais il faut avoir conscience qu’il s’agit d’un processus personnalisé et itératif, donc exploratoire jusqu’à l’obtention de la solution.

Pour ma part, suite aux résultats du test 1, qui a démontré un vrai déséquilibre de plusieurs facteurs, il a été nécessaire de refaire plusieurs fois le test sous différents protocoles thérapeutiques afin de trouver la réponse optimale qui normaliserait le terrain afin de relancer dans une 5 FIV puis des transferts. Cela a pris quelques mois mais l’objectif était clair et je savais que la prochaine FIV serait vraiment optimisée. Une fois le bon protocole trouvé, j’ai donc fait une 5ème ponction, puis 2 transferts d’embryons dans la foulée et le 2ème transfert a donné naissance à notre petite fille ! C’était totalement inespéré et il est clair que cette démarche très précise nous a permis d’avoir un enfant, la ou avant nous étions dans le noir complet sur les échecs répétés de transfert d’embryon.

Aujourd’hui nous avons décidé d’avoir un second enfant, j’ai donc refait le test afin de savoir si le déséquilibre existait toujours et s’il fallait mettre en place le même protocole ou un autre, et tout est revenu à la normal ce qui me permet d’avoir un transfert d’embryon classique sans protocole spécial